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Presque tous les aspects de la connaissance moderne autour du soleil est un problème. Il est la seule star que nous en savons assez pour sentir à quel point nous en savons peu. "
E. Parker, un astrophysicien américain
L'un des plus importants et en même temps a été question controversée de la géophysique moderne - l'impact de l'activité solaire sur l'état de la basse atmosphère et climat de la Terre.
Dans la fin des années 60 pour étudier le Soleil repose en grande partie sur des observations au sol dans le visible et à la radio, et les résultats de la recherche spatiale ont été limitées, fragmentaires, mais maintenant la situation a changé. Les travaux pilotés stations orbitales, des satellites et des engins spatiaux non habités spécialisés, qui comportent des instruments à haute résolution spatiale et temporelle extrêmement élevée, ce qui vous permet de documenter le phénomène de l'activité solaire sur un intervalle de temps suffisamment longs dans les régions spectrales inaccessibles à l'observateur de la terre. Ceci est principalement l'ultraviolet lointain, des rayons X et des rayons gamma rayonnement du soleil. En outre, de nouvelles informations sur l'activité solaire ont été obtenues à partir du solaire soviétique stratosphérique automatique Observatoire en 1970 et 1973.
La question de la réalité et le mécanisme physique de relations Soleil-Terre ont une longue histoire. Ainsi, à la fin du siècle dernier, le scientifique russe G. WILD a exploré la relation entre l'activité solaire et de la température en Russie. Plus tard, American V. Roberts a prouvé l'existence d'une fréquence de 22 ans de sécheresses dans les régions de l'ouest des États-Unis, W. Schuurmans et A. Oort a constaté des changements réguliers dans la
